Dans l’hypothèse où de l’eau y serait véritablement présente, ce serait probablement sous forme de grains minuscules dispersés dans la poussière lunaire, et non sous forme de gisements de glace faciles à exploiter, expliquent les chercheurs de l’Université de Cornell (USA), qui ont pu travailler sur la base d’images radar de très grande précision.
La possibilité que le pôle sud de la lune abrite des gisements de glace substantiels avait été évoquée pour la première fois en 1994 à la suite d’une mission américaine de cartographie. Mais l’information n’avait jamais pu être confirmée. (Source : agences)