Les crustacés nagent dans un "toximètre à daphnies", qui enregistre les mouvements des animaux. Ceux-ci réagissent immédiatement lorsqu’ils perçoivent même de très petites quantités de substances toxiques.
Ce système de "biomonitoring" semble unique en Suisse. Jusqu’à présent, les services industriels zurichois utilisaient des truites, mais celles-ci sont moins sensibles que les daphnies. Selon eux, la combinaison du biomonitoring et de mesures électroniques assurerait au consommateur "une sécurité maximale". (Source : ATS)