« Un accord ferme et juste sur de futurs engagements globaux pour des mesures en faveur de la réduction des changements climatiques et de l’adaptation à ces changements est crucial quant à la disponibilité future des ressources en eau » peut-on lire dans l’introduction de ce bref document. En clair : la Conférence de Copenhague devra prendre en compte toute l’importance de l’eau, de manière correcte et appropriée.
D’abord parce que c’est sur le plan des ressources en eau que ces changements climatiques feront d’abord visiblement ressentir leurs effets. Ce qui implique des décisions et des actions efficaces en matière de gestion intégrée de ces ressources comme en matière de coopération transfrontalière.
Ensuite parce que l’adaptation aux changements climatiques est une condition sine qua non au développement durable et à la réduction de la pauvreté. Ce qui nécessite des efforts accrus pour la protection et la restauration des écosystèmes.
Cela nécessitera évidemment un renforcement de la coopération institutionnelle à tous les niveaux, mais aussi la recherche de nouveaux financements : il est impératif, note le document, que des fonds supplémentaires soient mobilisés pour soutenir les groupes et les écosystèmes les plus vulnérables, en particulier dans les pays à faibles revenus.
– Lire : The Stockholm Statement from World Water Week to the COP-15