Des traces de perchlorate, "anormalement élevées, mais sans risques avérés pour la santé des consommateurs", ont été relevées par le laboratoire cantonal dans des échantillons d’eau prélevées dans la nappe phréatique du Genevois qui constitue la plus importante réserve en eau potable souterraine du canton, entre Arve et Rhône. Les Services industriels ont alors décidé de s’approvisionner en eau uniquement dans le lac Léman en attendant que les recherches permettent d’identifier la source de cette pollution. Les perchlorates, que l’on ne trouve que rarement à l’état naturel, sont principalement utilisés comme oxydant dans les munitions d’armes à feu et d’engins pyrotechniques, mais aussi dans les dispositifs d’airbags. (Source : communiqué SIG)
5 avril 2017.

Du perchlorate dans une nappe phréatique genevoise
Des traces de perchlorate, "anormalement élevées, mais sans risques (...)
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Contempler l’eau
“Je ne connais pas d’occupation plus totale de soi que de contempler l’eau, surtout l’eau mi-morte. À la fois plaisir et souffrance, divertissement de chaque minute et ennui compact des heures, plénitude et vide ; on vit avec une profonde et sourde intensité en même temps qu’on se détache et s’oublie, on se pétrit et on se délite dans une contradiction dont on ne cherche pas la clé, et il y en a certainement une, mais inutile. À quoi bon comprendre ?” (Alexandre Arnoux, “Rhône, mon fleuve”, 1967)
Glossaire
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Porosité, perméabilité
Les deux mots ne doivent pas être confondus car une roche poreuse (un grès par exemple) peut être perméable ou imperméable. On parle de la porosité d’un milieu, d’un sol ou d’une roche lorsqu’ils comportent des pores, c’est-à-dire des vides et des interstices de petite taille parfois microscopique. Le calcul de la porosité permet d’évaluer la capacité de stockage d’un milieu. On parle de perméabilité d’un milieu lorsqu’il est apte non seulement à se laisser pénétrer par un fluide, mais également à être complètement traversé par lui.